Santé & Beauté

Sommeil : l’impact des nuits trop courtes sur la santé

Le manque de sommeil est un phénomène courant. Aujourd’hui, plus du tiers de la population française souffre d’insomnie. En général, celle-ci se traduit par des difficultés à s’endormir ou des réveils nocturnes fréquents. Dans les deux cas, elle raccourcit votre temps de repos, ce qui peut avoir des effets néfastes sur l’organisme.

D’ailleurs, dormir moins de 5 heures par nuit accroît significativement le risque de développer certaines maladies chroniques. Cela diminue également votre espérance de vie… Découvrez plus en détail l’impact des nuits trop courtes sur la santé.

La fatigue

La fatigue fait partie des conséquences du manque de sommeil. Quand une personne vient de passer une nuit trop courte, elle se sent souvent épuisée dès le réveil. Vous devez donc bien dormir pour éviter cette situation et rester performant au travail. Divers moyens vous permettent d’y arriver.

Le plus efficace consiste à utiliser un lit confortable. Or, face aux nombreuses options du marché, il vaut mieux consulter un comparatif pour trouver le meilleur matelas et le sommier adapté. À travers un site dédié, vous allez découvrir les modèles de literie les plus confortables dans le commerce.

Lisez bien les détails concernant chaque couchage pour pouvoir choisir celui qui correspond à vos besoins. De cette façon, vous aurez la garantie de passer de bonnes nuits de repos, essentielles pour prévenir la fatigue.

L’affaiblissement du système immunitaire

Lorsque le sommeil est perturbé, les cellules immunitaires ne peuvent jouer pleinement leur rôle dans l’organisme. Ce qui entraîne une altération du nombre et de la qualité des globules blancs qui combattent les infections. Cela affecte également les lymphocytes, les cellules chargées de produire les anticorps. Les nuits trop courtes affaiblissent vos défenses. Et dans ce cas, vous êtes plus susceptible de tomber malade.

L’apparition des maladies cardiovasculaires

Après une nuit de sommeil agitée ou trop courte, le cœur et les artères sont très sollicités. Ce qui augmente le risque de développer les maladies cardiovasculaires (infarctus, hypertension, accident vasculaire cérébral…). D’ailleurs, celles-ci sont plus fréquentes chez les individus qui dorment moins de 5 heures par nuit. Il en va de même pour ceux dont la qualité du repos est mauvaise (réveils nocturnes fréquents).

La réduction de l’activité musculaire

Les fibres musculaires profitent du sommeil pour se relaxer et régénérer leurs tissus. En parallèle, le cerveau sécrète des hormones de croissance permettant à la masse musculaire de se renouveler ou de se développer.

Sans un bon repos, cette phase de renouvellement cellulaire se retrouve altérée. Ce qui peut engendrer un vieillissement prématuré de la peau, l’apparition de cernes ou encore d’acnés. Mais surtout, cela risque de réduire la performance des athlètes professionnels.

La prise de poids

Le sommeil a un impact sur l’ensemble du fonctionnement de l’organisme, c’est pourquoi il est essentiel de bien dormir. D’ailleurs, l’insomnie favorise la production de ghréline, l’hormone qui régule l’appétit. Ainsi, un individu qui dort peu ou mal a tendance à vouloir manger des aliments sucrés. Ce qui contribue à la prise de poids et au développement des maladies liées à une mauvaise alimentation (diabète, hypertension…).

La détérioration des fonctions cognitives

Le cerveau évacue les toxines du tissu cérébral pendant le sommeil. Lorsque ces dernières ne sont pas correctement éliminées, les fonctions psychologiques sont mises à mal. Durant la journée, cela occasionne un manque de concentration et une baisse de la vigilance. Une mauvaise nuit peut aussi provoquer une somnolence au volant, ce qui augmente la probabilité de causer un accident.

Par ailleurs, c’est durant la phase de sommeil lent qu’a lieu la consolidation des apprentissages, en particulier chez les enfants. Une nuit trop courte affecte leurs capacités de mémorisation et celles d’enregistrer les informations reçues à l’école. Du côté des personnes âgées, celles qui dorment moins de 5 heures par nuit sont plus sujettes à la démence.

La dépression

Pendant la nuit, l’amygdale secrète les hormones du bien-être (sérotonine et endorphines). Si vous ne dormez pas suffisamment, celles-ci sont remplacées par l’adrénaline et le cortisol, les hormones du stress. Cela a pour conséquence de favoriser les émotions négatives, menant à l’anxiété, voire à la dépression.

Cet article vous a permis de connaître l’impact des nuits trop courtes sur la santé. Celles-ci occasionnent la fatigue, l’altération du cerveau, l’irritabilité et l’apparition de certaines maladies chroniques…